Carnet de voyage Niger 2004

L'album photos Niger

L'album photos Niger

Bénin -> Gaya -> Niamey -> Tillabéri -> Filingué -> Baleyara -> Dogondoutchi -> Tahoua -> Badéguichéri -> Tessaoua -> Kantché Takiéta -> Zinder -> Miria -> Birmin Kazoé -> Gouré -> Nguigmi -> Tchad

Mardi 2 Mars

Contrairement à ce que l'on pensait, et heureusement pour nous, les formalités côté Niger se déroulent rapidement et sans anicroche. Ceci nous permet de rouler un peu avant la tombée de la nuit et de trouver un bivouac dans un endroit isolé

Femme qui pile à l'ombre des arbres

Femme qui pile à l'ombre des arbres

Mercredi 3  - Samedi 6 Mars : séjour Niamey

La route de goudron que nous empruntons nous mène rapidement à Niamey. Premier objectif à remplir, chercher l'Ambassade du Tchad pour faire notre demande de visa. Nous la trouvons assez vite et faisons les démarches adéquates. Là aussi, la réputation n'est pas terrible et pourtant. Nous tombons sur un charmant monsieur qui nous fait remplir les différents papiers et après une petite attente, nous repartons avec nos passeports, visas en main. On est super contents. Nous pouvons l'esprit tranquille, découvrir les points d'intérêt de Niamey. L'un d'entre eux est le musée national qui reconstitue l'art de vivre et l'habitat traditionnel des principaux peuples du Niger. Apparemment, il date du temps de la colonisation mais il reste quand même intéressant. Par contre, la plupart des pavillons sont fermés et le soi-disant zoo présenté est tout simplement pathétique. Notre mission suivante est de dénicher un logement agréable pour passer plusieurs jours dans la capitale pour travailler sur le site web entre autre. La tâche n'est pas aisée car le niveau de l'hôtellerie nigérienne, particulièrement à Niamey, n'est pas très élevé en qualité mais plutôt en prix. Nous voilà en train d'arpenter en voiture les rues de la capitale qui avec leur sens unique et l'absence de panneau commencent sérieusement à perturber notre sens de l'orientation. Quand nous trouvons les fameux hôtels qui ne sont pas très nombreux, nous estimons le prix très cher par rapport au niveau de prestation proposé et en plus, ils ne peuvent pas nous accepter pour la durée prévue de notre séjour. Bref, après plusieurs heures à tourner en rond, aller voir l'autre qui est peut-être mieux ou moins cher, réfléchir, hésiter et se décider, c'est finalement en fin d'après midi qu'on s'installe dans une chambre très moyenne dans un hôtel très moyen. L'installation électrique en est une bonne illustration. La clim et la télé sont branchées sur la même alimentation donc c'est télé et clim ou ni télé ni clim. Pour éteindre ou allumer la clim il faut appeler le réceptionniste qui active l'alimentation depuis l'accueil.  Comme avec l'harmattan il ne fait pas chaud, pour pouvoir brancher l'ordinateur sans avoir la clim, David est obligé de bricoler et de couper son fil d'alimentation ! Le jeudi matin, on passe la matinée à travailler tranquillement et on repart chercher un autre hôtel pour les 2 nuits suivantes, en vain. L'harmattan souffle tellement que c'est limite tempête de sable, on a presque froid. L'après-midi, on passe au garage Toyota pour diagnostiquer le problème que David ressent au niveau de l'embrayage de la voiture. Comme après, on va faire du sable et s'aventurer dans des zones isolées on préfère résoudre le problème avant de partir. En fait, Totoy semble souffrir de son disque d'embrayage et la cause semble assez ancienne. David souhaite changer l'embrayage dans la journée du lendemain et arrive à convaincre le mécanicien, quitte à lui donner un coup de main pour finir avant le week-end. Rendez-vous est pris pour le lendemain à l'ouverture du garage. Maintenant, nouveau challenge, il faut trouver une banque pour retirer une grosse somme d'argent pour payer les réparations, le garage ne prenant pas les paiements par carte bleue. Il n'y a pas de distributeurs de billets dans le pays mais heureusement, on trouve la seule banque qui permet ce genre de transaction moyennant une (bonne) commission.

Vendredi, David se lève aux aurores pour amener la voiture se faire changer l'embrayage. Finalement, il revient aussi vite car le mécano a changé d'avis et ne se sent plus capable de faire ce travail dans la journée. Le principal, c'est qu'on a les pièces, s'il arrive un problème au fin fond du Tchad, on trouvera bien un moyen de se débrouiller. On déménage d'hôtel en prenant la dernière chambre de libre. Il est équipé d'une piscine au bord de laquelle on retrouve nos cyclistes hollandais rencontrés au Mali aux chutes de Gouina ! Ils sont en séjour forcé dans la capitale car il a cassé sa roue arrière à 400 kilomètres à l'est et ils attendent qu'on leur envoie la pièce. Ils ne sont pas très loquaces mais on les comprend car le moral a dû en prendre un coup. Ce soir, nous sortons au Centre Culturel Français pour voir un spectacle donné par une troupe de Bororo Wodabe. C'est une ethnie très particulière au Niger avec des coutumes très codifiées et strictes. Comme la majorité des Peuls, ce sont des nomades avec une allure longiligne et des traits fins. Leur spécificité, c'est le culte qu'ils vouent à la beauté, particulièrement les hommes. Lors de cette soirée, ils reproduisent les danses qui se déroulent à l'occasion de leur grande fête annuelle du Gerewol à l'époque de l'hivernage. La richesse de leurs habits traditionnels et la finesse de leur maquillage est indescriptible et impressionnante. Dans une danse en particulier, tous les hommes sont alignés côte à côte et oscillent de haut en bas sur la pointe des pieds. Le but est de séduire suivant certains codes les jeunes filles qui regardent et qui choisiront ainsi leur fiancé. Les danseurs, arrivent quasiment à un état de transe bien perceptible à la façon avec laquelle ils roulent leurs yeux et claquent des dents toujours avec une élégance extrême. C'est véritablement une grande chance pour nous d'assister à cette soirée.

Le samedi, comme j'ai fini mon travail sur le site web, nous recherchons un cybercafé pour faire la mise à jour. Comme beaucoup d'autres choses ici, ce n'est pas simple. Déjà, il n'y en a pas beaucoup et en plus, soit ils sont fermés, soit ils ne marchent pas. Là aussi, on passe pas mal de temps avant de trouver notre bonheur. Au bout du compte, on dégotte un cybercafé géré par une ONG. Le soir on s'offre la meilleure table de la ville. Un restaurant gastronomique, tenu par un landais qui reconnaît aussitôt notre accent. Le patron a une longue expérience du Niger et est un vrai touche à tout : enseignant, photographe, restaurateur... Son accueil chaleureux et sa cuisine si délicate et créative nous font beaucoup de bien. Dommage qu'on n'y soit pas allé avant.

Dimanche 7 Mars

Après un bon petit déjeuner à la pâtisserie où on avait fini par avoir nos petites habitudes, nous quittons Niamey par le goudron pour Baleyara. Tous les dimanches, s'y déroule un des marchés les plus spectaculaires du pays par son ampleur et par la diversité des peuples qui s'y retrouvent. Quand on arrive, on est très attendu et on se fait assaillir par des guides plus ou moins officiel. On n'est pas obligé d'en prendre un mais c'est assez difficile de résister à cette pression et surtout, ça me permet de prendre des photos plus sereinement. Donc on accepte.

Grande foule au marché de Baleyara

Grande foule au marché de Baleyara

C'est une foule bigarrée qui envahit toutes les ruelles et stands du village. Ca grouille de partout et tout s'y vend. Nourriture, viande fraîchement dépecée ou à cuire, marchandises diverses, animaux dans le marché aux bestiaux, objets de l'artisanat traditionnel. C'est le point de rencontre entre les touaregs, les peuls et les djermas du Sud. Particularité : le commerce du natron. C'est un peu comme l'amersal en Mauritanie. Il s'agit d'une couche de sel et de terre qui est ramassée et recouverte de tiges de mil. Le tout est roulé sur lui-même pour constitué un énorme cône qui est ensuite vendu comme complément alimentaire pour le bétail.

Le natron sel pour le bétail

Le natron sel pour le bétail

L'attrait principal de Baleyara est son marché aux bestiaux où nous retrouvons une multitude de bêtes : chameaux, zébus bororo (à grosses cornes) ou azaouagh (petites cornes), ânes, chèvres, moutons et quelques chevaux. Ca marchande sévère et à côté c'est le commerce du fourrage qui est le sujet de toutes les tractations.

Une fois rassasiés de toutes ces couleurs, sons et odeurs, nous repartons par la piste beaucoup plus calme pour Dogondoutchi. A un moment, nous dépassons un cycliste randonneur qui avance péniblement dans le vent contraire. On s'arrête. Il s'agit de Julian, un anglais qui est parti depuis 6 mois et qui a déjà parcouru beaucoup de pays de l'Afrique de l'Ouest. Visiblement, il ne s'est pas coupé les cheveux ni la barbe depuis son départ ! Il a l'air fatigué et amaigri. Ce n'est pas du tout le même gabarit que nos cyclistes hollandais. Mais il a bon moral et lui aussi va emprunter la même route que nous pour descendre vers l'Afrique du Sud. Nous le laissons face à lui-même et au défi qu'il s'est lancé, impressionnés par sa performance et son courage.

Lundi 8 Mars

Nous roulons sur la nationale en goudron qui traverse le pays d'ouest en est. Nous nous arrêtons à Koni pour faire des courses en espérant peut-être apercevoir, Dirk et Saskia qui doivent revenir ici réparer leur vélo une fois les pièces reçus de Hollande. La ville est animée et on trouve facilement de quoi se ravitailler dont cet appétissant poulet qui grille et que nous emportons.

Il y a toujours autant de vent sur la route et notre consommation va en prendre un coup. Et puis, on distingue au loin deux silhouettes assises sur le bord de la route avec des vélos de randos posés à côté. Et oui, ce sont nos deux amis hollandais. On s'arrête et on s'installe à l'ombre pour déjeuner et partager ce délicieux poulet grillé avec eux. On les trouve beaucoup plus bavards et motivés que la dernière fois. Malgré les conditions climatiques défavorables pour eux, ils ont retrouvé le moral et sont heureux de se remettre à pédaler. Après presque une semaine de séjour forcé à Niamey, ils avaient des fourmis dans les jambes. En fait leur pièce est arrivée plus tôt que prévu ce qui nous a permis de les rencontrer de nouveau sur la route. La route est plate mais toute droite sur des dizaines de kilomètres et donc ennuyeuse mais ce qui les gêne le plus, bien sûr c'est le vent fort et sa poussière. Malgré tout ils espèrent faire 100 kilomètres par jour dans ces conditions. Nous les laissons repartir à leur aventure et les dépassons, espérant les revoir au Cameroun.

Dirk et Saskia, nos courageux hollandais à vélo

Dirk et Saskia, nos courageux hollandais à vélo

Les villages sur le bord de la route rompent la monotonie du voyage avec tout le monde qui nous salue avec de grands sourires. J'adore particulièrement leurs greniers tout ventru. Depuis notre entrée dans le Niger, je ne sais pas pourquoi mais j'ai pris ce pays en grippe. Le fait de quitter le Bénin, ou le nombre de fois où on a tourné en rond dans Niamey, ou l'harmattan peut-être, ou tout ça réunit. Bref je ne sentais pas d'atomes crochus. Au fil des jours et de notre traversée, le contact avec ces gens de peuples si différents et pourtant tous aussi amicaux et accueillants les uns que les autres ont gagné ma réticence, imperceptiblement. Je me sens de nouveau à l'aise, ce pays est devenu ma maison.

Mardi 9 Mars

Nous arrivons à Zinder l'autre grande ville du pays avec Agadez. L' architecture de sa vieille ville est réputée pour être une des plus homogène et intacte de maisons en banco traditionnelle des Haoussas. On s'installe dans la cour d'un hôtel pour camper, une fois de plus il faut négocier rude. On traverse quasiment la totalité de la ville à pied pour aller se perdre dans l'une des ruelles du fameux quartier Birni. Nous déambulons tranquillement, à aucun moment  on nous sollicite en tant que touriste mais plutôt en tant que badaud pouvant se transformer en client. La situation évolue quand on arrive au quartier touristique mais dans une très faible mesure. C'est vraiment agréable de se promener ainsi sans que cela ne soit de l'indifférence pour autant.

Le quartier tient ses promesses avec de maisons en banco aux arrêtes douces et avec des façades parfois finement décorées le tout s'insérant dans un enchevêtrement de rochers.  Le soir, nous invitons 2 jeunes voyageurs italiens installés dans le même hôtel, à nous rejoindre pour l'apéro. Stéfano et Pascal voyagent depuis un mois en routard. Après avoir traversé l'Italie puis la Sicile ils ont rejoint la Tunisie pensant poursuivre par la Libye. Finalement ils ont dû opter pour l'Algérie où ils ont traversé le Sahara en camion pour arriver à Agadez. De Zinder, ils remontent à Niamey pour partir ensuite sur l'Afrique Noire. Fort heureusement pour nous ils parlent très bien français ce qui permet d'échanger nos expériences et impressions respectives. Malgré notre façon très différente de voyager nous retrouvons beaucoup de choses ou anecdotes en commun. Mais le voyage n'est pas notre seul sujet de discussion. Nous passons ainsi une excellente soirée très animée, très vivante et très joyeuse.

Village typique du sud est Champ de greniers
Village typique du sud est Champ de greniers

Mercredi 10 Mars

Nous retrouvons nos joyeux acolytes pour le petit déjeuner et surtout le vrai café que nous leur avons promis la veille. Nous les laissons partir à la gare routière à la recherche d'un camion pour Niamey tandis que nous partons faire nos stocks de vivres, carburant et eau pour une semaine minimum. Nous sommes interpellés pour changer au noir nos CFA afrique occidentale en CFA de la zone centrale en vigueur au Tchad. On se méfie un peu puis on accepte car c'est sans commission et apparemment c'est très difficile à faire dans les banques.

On tourne un peu dans la ville puis on trouve la route vers Nguigmi. Elle devient plus étroite, moins fréquentée mais les paysages sont de plus en plus beaux. Ils sont aussi parfois surprenants comme aux environs de Miria avec des étendues de baobabs mêlés avec des palmiers tout fins. Ou bien à Guidimouni, un lac de plaine qui transforme une vallée en immense oasis et une végétation quasi tropicale sans oublier les centaine de petits jardins. On roule jusqu'au soir et c'est avec plaisir qu'on retrouve l'ambiance de nos bivouacs du désert.

Palmiers doum et baobabs Charrette à zébu bororo
Palmiers doum et baobabs Charrette à zébu bororo

Jeudi 11 Mars

Nous repartons peu après Goudoumaria pour faire la route jusqu'à Diffa. Cette route est très monotone et nous plaignons à l'avance notre couple de cycliste hollandais surtout s'ils ont un vent contraire comme c'est le cas actuellement. Arrivés à Diffa, comme on n'est pas sur de pouvoir faire toutes les formalités de douane à Nguigmi, on préfère les réaliser ici. Ca se déroule assez facilement et les autorités sont vraiment de bonne volonté. Quelques courses de produits frais dans le marché où tout le mode paye en monnaie du Nigeria et on repart vers la frontière. La route est tout simplement horrible et en plus il faut payer le péage comme pour chaque tronçon goudronné. Il y a énormément de trous provoqués ou aggravés par les camions et il faut souvent empruntés les pistes parallèles qui ne sont pas non plus dans un super état. Mais les paysages sont superbes avec des troupeaux immenses de zébus à grandes cornes, menés par leurs bergers nomades.

Fillettes peuls, admirez les détails de leurs habits et accessoires (chevillères) Paysage entre Diffa et Nguigmi
Fillettes peuls, admirez les détails
de leurs habits et accessoires (chevillères)
Paysage entre Diffa et Nguigmi

Finalement, on arrive à Nguigmi en fin de journée ce qui n'est pas un bon plan. Au poste de contrôle, ils n'apprécient pas qu'on ait déjà fait les formalités à Diffa alors que là bas ça ne leur posait aucun problème. Il commence à faire nuit et on ne sait même pas quelle route prendre pour le Tchad car on pensait prendre des renseignements dans la ville. Toutes les cartes que nous avons datent d'une vingtaine d'années et depuis les choses ont bien évolué en particulier le lac Tchad a été réduit à un tiers de sa surface. Du coup, les pistes empruntées par les locaux ont radicalement changé et n'ayant pas de points GPS récents ce n'est pas facile de trouver la solution. C'est aussi presque impossible d'obtenir des renseignements sans que cela tourne au service de guides. Comme je disais ce n'est pas un bon plan d'arriver à une ville frontière de nuit surtout qu'il n'y a pas d'hébergement et qu'on ne peut pas faire demi-tour vu qu'on a fait les formalités ici.

On finit par accepter la proposition d'un guide Modo, qui nous accueille chez lui. Nous nous installons devant sa maison et partageons le repas avec sa famille dans sa cour. En fait, nous mangeons avec lui et ses trois fils tandis que sa femme et sa fille mangent à part. Ca fait plus de 20 ans qu'il exerce sa profession de guide et il est reconnu dans ce milieu. Il nous donne des infos sur la piste à suivre pour aller à N'Djamena et nous propose de nous emmener demain matin au point de départ à la sortie de la ville et nous fait bien comprendre que c'est mieux pour nous.

Route nationale entre Diffa et Nguigmi !

Route nationale entre Diffa et Nguigmi !

Vendredi 12 Mars

Nous nous levons très tôt pour attaquer ce qui devrait être une rude journée. Comme promis, Modo nous conduit à la piste une fois que David lui a précisé nos conditions. En fait la piste n'est pas difficile à trouver si on a quelques indications mais personne sur place n'a intérêt à les donner. Voici ce qu'on en a retenu, désolé, j'ai effacé les points GPS ! :

Arrivant de Diffa, continuer la route principale goudronnée et tourner à droite dans une large avenue ensablée  (en face d'une caserne militaire ou de police en retrait de la route) Continuer tout droit, passer 2 contrôles et faire le tour de l'aéroport en le laissant toujours sur sa gauche en suivant les traces des gros porteurs. On tombe sur les panneaux "route du Tchad" vers la gauche et "route de Doro" vers la droite. Ensuite il n'y a plus qu'à suivre les traces des gros porteurs sur un sol parfois dur mais la plupart du temps ensablé. On arrive à un poste de contrôle et ensuite c'est le no man's land jusqu'à Daboua poste frontière du Tchad.

 

Niger 2004

Ca peut toujours servir :

  • Visa pour le Tchad : Ambassade du Tchad à Niamey, Avenue Général de Gaulle
    Visa pour 10 jours, 1 seule entrée = 3 photos + 15 000 CFA, obtenu en suivant environ 1 heure d'attente.
  • Le siège central de la Banque BIA, à côté du supermarché Haddad est la seule banque dans laquelle on peut organiser un retrait avec une carte VISA. Attention commission prise (environ 10 000 CFA pour 500 000 CFA pris)
  • - Garage Toyota :
    CFAO Niger
    ZI Route de l'Aéroport
    BP 204
    NIAMEY - NIGER
    Tel : 74.01.58 / 59
    email : cfaongr@intnet.ne
  • Pâtisserie des Lilas : excellente et sympathique pâtisserie qui fait aussi sandwich et omelettes et poulet rôtis le soir. En face de l'hôtel Terminus.
  • Guide Nguigmi : Modo GAPTIA - S/C des Soeurs - BP 5 - N'GUIGMI
  • Hébergement :
    • à Niamey : 22 000 CFA au Sahel et 17 500 au Terminus
    • à Zinder : 3 100 CFA camping à l'hôtel Malem Kal Kal Danou
    • Internet : Espace CyberFlash tenu par une ONG aux environs du stade.
    • Exemples de prix :

      Gas-oil (le litre)    347
      6 tomates    300
      6 bananes    300
      4 carottes    100
      1 pain    250
      1 noix de coco    250
      Repas pour 2 avec boisson : de 3 000 à 8 000 CFA. Beaucoup plus de choix de petits et moyens restos que d'hôtels.

    • Restaurant gastronomique Tabakady tenu par un vieux landais très chaleureux et amateur éclairé du Niger. Excellente cuisine mais il faudra casser la tire-lire.
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